
Nous avons récemment reçu un bref rapport de Kassem AINA, directeur général de la National Institution of Social Care and Vocational Training (NISCVT), partenaire de longue date d’ADPM, œuvrant auprès des communautés palestiniennes réfugiées au Liban.
Ce rapport dépeint une situation très inquiétante par rapport à la continuation de l'aide apportée aux jeunes réfugiés au Liban. En effet, une nette diminution des budgets de notre partenaire est à prévoir dans un avenir proche, impactant fortement ses activités sur le terrain.
Parmi les raisons de cette diminution, il faut noter la suspension d’une partie des financements de l’UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l’enfance), du fait de la mise à l’arrêt de l’aide internationale américaine par Donald Trump. Bien que les salaires des enseignants soient garantis pour quelques mois encore par l’UNICEF, d’autres dépenses comme le matériel scolaire et les frais de formation des jeunes non parrainés restent à couvrir.
En parallèle, l’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) a également subi une diminution de son budget, accentuant ainsi la difficulté de maintenir ses programmes de soutien aux réfugiés palestiniens.
L'éducation des jeunes réfugiés palestiniens est une priorité absolue. Sans elle, c'est tout l'avenir de ces jeunes qui est compormis.
ADPM suit la situation de près et reste solidaire des efforts entrepris pour assurer un avenir plus stable à ces jeunes.
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